Besoin fréquent d’uriner en petite quantité, brûlure à la miction, pression dans le bas-ventre et parfois, présence de sang dans les urines… autant de symptômes qui doivent nous alerter et nous orienter vers la possibilité d’une cystite chez la femme ou d’une infection urinaire chez l’homme.

Mais c’est quoi une cystite ?

C’est une inflammation de la vessie, provoquée le plus souvent par des bactéries intestinales, dont la plus connue est Escherichia Coli.

Pourquoi développe-t-on une cystite ?

Les causes sont variées. On peut citer un manque d’hydratation, un déséquilibre ou de la flore intestinale, une hyperperméabilité intestinale, des prises répétées d’antibiotiques, les rapports sexuels, la fatigue, le stress. Bref, tout ce qui peut faire le terrain du développement de la bactérie et de son déplacement vers l’urètre où elle continue à proliférer jusqu’à créer l’inflammation à l’origine des troubles ressentis.

Est-ce que c’est grave ?

Non et oui. Si la cystite est occasionnelle, sans douleurs ni fièvre et si on agit dès les premiers symptômes, on peut en venir à bout en quelques jours. Mais même dans ce cas, il faudra toujours consulter un médecin pour vérifier que tout va bien. En effet, et surtout sans amélioration après 48h, des complications peuvent apparaître. La prise d’antibiotiques ciblés sera nécessaire.

Une des plus sérieuse, la pyélonéphrite, est la conséquence d’une progression de l’infection jusqu’aux reins. Elle est alors accompagnée de fièvre, frissons, mal de dos, nausées, vomissements ou diarrhées. Il faut être d’autant plus vigilant en cas de grossesse : la pyélonéphrite peut être responsable d’une fausse couche, d’un accouchement prématuré ou d’un retard de croissance du bébé

Si l’on est sujet à des cystites récidivantes, c’est-à-dire plus de trois fois par an, là encore, la consultation médicale s’impose afin de rechercher d’éventuelles anomalies des voies urinaires ou une insuffisance rénale chronique.

Que faire, en cas de crise ?

Dès les premiers symptômes

• S’hydrater à raison d’½ litre toutes les ½ heures pendant 3 heures.

Maintenir l’hydratation à raison d’1,5 litre à 2 litres de liquide par jour.

On peut s’hydrater avec de l’eau peu minéralisée, des tisanes (comme la « 6’TIT » de l’Atelier des Simples) ou des jus sans sucre de citrons pressés, canneberges, myrtilles ou airelles.

• Uriner toutes les 3 heures au moins 5 fois par jour en vidant complètement la vessie à chaque fois. S’essuyer d’avant en arrière lorsque l’on va aux toilettes. Penser également à uriner après tout rapport sexuel pour éliminer d’éventuels germes présents dans l’urètre.
• Privilégier le port de sous-vêtements en coton pour éviter la macération et l’utilisation de savon doux, sans parfum, adapté à la toilette intime.
• Manger des aliments alcalinisant, riches en fibres, magnésium, soufre et vitamine C (radis noirs, navets, choux, poireaux, ail, oignons, fruits et légumes)
• Éviter le vin blanc et les épices, le café, le thé, les sodas et tous les sucres, ainsi que les viandes rouges, charcuteries et autres produits riches en sel)

Quelles huiles essentielles pour soulager les cystites

Se masser au niveau de la vessie, 3 fois par jour avec 5 gouttes du mélange suivant : dans un flacon d’au moins 20 ml, verser 30 gouttes d’huile essentielle de Palmarosa + 30 gouttes d’huile essentielle de Tea Tree + 20 gouttes de Petit grain bigarade + compléter jusqu’à 15 ml avec de l’huile végétale.

L’huile essentielle d’Hélichryse faradini d’Astérale est précisément orientée vers le système urinaire et génital, avec une action douce. En usage externe elle est diluée légèrement si la peau est réactive. Mettre 2 à 3 gouttes sur le bas ventre 2 à 3 fois par jour en synergie avec le Niaouli.

Quelles plantes pour soulager les cystites

Notre Tisane « 6’tit » de l’Atelier des simples

• Bruyère : antiseptique urinaire, diurétique puissant
• Canneberge : modifie la composition chimique de l’urine de façon à inhiber l’adhérence des bactéries comme l’Escherichia Coli. Peut-être utilisé en curatif ou en préventif.
• Pissenlit : diurétique et anti inflammatoire
• Chiendent : accroît le volume urinaire, dépuratif
• Cassis : diurétique, favorise l’élimination des déchets et anti inflammatoire.

Utilisation : en infusion, 2 cuillères à soupe bombées du mélange pour 1L d’eau

En curatif : Boire ½ litre de tisane toutes les ½ heures les 3 premières heures puis au moins 1L par jour pendant 3 à 7 jours

En préventif pour les cystites récidivantes : 2 à 3 tasses par jour par mois

Nos produits disponible à la boutique en complément pour les cystites

• Canneberge : en gélules en traitement sur 3 mois.
• D-MANNOSE de Vitall+: actif présent dans la cranberry et les airelles. Il limite l’adhésion des bactéries à la paroi et favorise leur élimination dans les urines. Utile en curatif et préventif.
• Gemmothérapie : Bruyère, Genévrier, en cure de 3 semaines.
• LACTOBACILLUS RHAMNOSUS ou FLORE VITAL (probiotiques)
• CATALYONS cuivre or argent ou manganèse cuivre (oligo-éléments)

Propositions à adapter en fonction des causes, du terrain, de l’hygiène de vie et des contre-indications médicales. Demandez conseil à l’Atelier des Simples mais cela ne remplace pas une consultation médicale.

Article rédigé par Ilona Berny. Bibliographie : la santé au Naturel et  Je me soigne avec les tisanes de Ch. Cieur

Il y a trois types de mémoire :

• La mémoire sensorielle : c’est la perception de l’information par les organes sensoriels. Elle conserve très brièvement l’information apportée par les sens.
• La mémoire à court terme : elle enregistre temporairement jusqu’à 7 événements qui s’enchaînent dans nos vies.
• La mémoire à long terme : elle sert à emmagasiner tous les événements importants de notre vie, à retenir le sens des mots et les habilités manuelles apprises.

Conseils hygiène vitale pour bien entretenir sa mémoire

Exercice physique

L’exercice physique contribue à une bonne oxygénation du cerveau. Le cerveau consomme 20 % de l’oxygène absorbé par le corps. Cela permet de stimuler la circulation sanguine et d’éliminer les déchets. La marche, le jogging, le vélo assure cette oxygénation qui favorisera la connexion des neurones.

Exercice intellectuel

Entraîner sa mémoire par des exercices intellectuels : mots croisés, Sudoku, apprendre des poésies, des chansons, des numéros de téléphone. Jouer aux échecs et aux jeux de logique.

Yoga et méditation

La pratique du yoga, de la méditation peut aider à la concentration et au développement de l’attention. Avoir une bonne vie sociale, réduire le stress (source d’une augmentation de cortisol qui détériore les capacités cognitives).

Respiration

Une bonne respiration et des exercices comme la cohérence cardiaque améliorent la concentration et la mémoire.

Sommeil

Bien dormir : la fatigue est l’ennemi de la mémoire et le sommeil un booster de cerveau. Le sommeil consolide les souvenirs.

Conseils alimentaires pour bien « nourrir » le cerveau

Une bonne hydratation

Bien s’hydrater : un verre d’eau toutes les heures, intercaler avec du thé vert bio. Les neurones sont constitués de 78 % d’eau.

Des acides gras essentiels

Favoriser les acides gras essentiels : les oméga 3 et les oméga 6. Dans les huiles premières pression à froid (lin, chanvre, cameline, colza, noix, coco) et dans les huiles de poissons (sardines, foie de morue). On en trouve aussi dans les oéagineux dont la graine de chanvre décortiquée, la noix et dans l’avocat ! Le cerveau est l’organe le plus riche en graisse juste après le tissu adipeux, cette boule de graisse consomme 20 % de l’énergie fournie par l’alimentation !

Des fruits et légumes

Consommer des fruits et des légumes : les légumes verts à feuilles (épinards, salade, mâche, cresson) ou colorés (betteraves, carottes, tomates, poivrons) et les petits fruits (myrtille, cassis, mûres, groseilles) très riches en antioxydants.

Des épices

Les épices et les aromates luttent contre la dégénérescence neuronale et renforcent les connexions cérébrales : le curcuma, la cannelle, le safran, le romarin (il renforce la mémoire à court et moyen terme grâce à plusieurs mécanismes protecteurs) et le thym.

Des antioxydants

Le cerveau est pauvre en antioxydant donc pour lutter contre le stress oxydatif il a besoin d’antioxydants : vitamines A, C,E, béta-carotène, sélénium et flavonoïdes très présents dans les aliments frais. Les minéraux comme le fer (présent dans les globules rouges pour alimenter le cerveau en oxygène, on en trouve dans le boudin noir, les huîtres, les moules, le foie de porc), le zinc (pour le bon fonctionnement de certaines enzymes et antioxydant, on en trouve dans les huîtres, le germe de blé, les épinards), et le magnésium (pour le fonctionnement neuromusculaire et la transmission d’influx nerveux).

Super aliments

Il existe des supers aliments stimulant comme les baies de goji, la spiruline, l’algue Klamath

Des vitamines B

Penser aux vitamines B ou acide folique, qui sont de bons carburants pour le fonctionnement cérébral (on en trouve dans les céréales complètes, la levure, les légumineuses, le germe de blé). Les vitamine B favorisent l’oxygénation cellulaire.

Attention !

Une consommation modérée d’alcool aura peu d’incidence mais une consommation excessive peut provoquer des dégâts dans la mémoire épisodique et s’il y a un alcoolisme chronique les dégâts peuvent être sévères et durables. De même pour les drogues.

Conseils en plantes et huiles essentielles pour votre mémoire

En phytothérapie

Le ginkgo biloba

C’est une plante majeure pour la mémoire. Bien pour la circulation cérébrale, les troubles de la mémoire et l’altération des fonctions cognitives. Il améliore les capacités cognitives du cerveau (mémoire, vigilance, concentration, apprentissage) grâce à l’augmentation du captage de l’oxygène et du glucose par les cellules nerveuses et à l’optimisation de la neurotransmission synaptique, effet anti-stress. Attention : Femmes enceintes et allaitantes. Médicaments anti-coagulant. Évitez une semaine avant une opération et en cas d’hémophilie. A prendre sous forme de gélules ou extrait hydroalcoolique ou gemmothérapie.

La rhodiole

Pour le mental et l’émotionnel c’est une puissante plante adaptogène, elle accroît la capacité à gérer le stress par son action anti oxydante et elle améliore la mémoire, l’attention et la concentration. Précautions : Femmes enceintes et allaitantes, cas de surexcitation ou insomnie. Pas en même temps que suppléments minéraux.

La petite pervenche

Pour l’insuffisance circulatoire cérébrale (vertiges, troubles de la mémoire, après un AVC).

Le Bacopa

Le Bacopa (bacopa monnieri) : plante ayurvédique indienne qui améliore les fonctions cognitives, favorise le calme et possède une action antioxydants spécifique au niveau cérébral. Peut-être donné aussi aux enfants et adolescents qui ont besoin de concentration.

L’olivier en gemmothérapie

C’est un grand protecteur vasculaire. Il préserve la mémoire et la défaillance cérébrale en contribuant à calmer les névroses obsessionnelles (bien pour la maladie d’Alzheimer).

Le mélèze en gemmothérapie

En contribuant à la revascularisation des tissus dégradés, il relancerait la vivacité intellectuelle. Intéressant pour les personnes âgées en perte de mémoire.

L’Aulne

C’est un anti inflammatoire, il apporte un soutien en cas de sénilité, de trous de mémoire.

Exemples d’utilisation

En gemmothérapie combiner 2-3 macérats selon le problème à traiter en cure de 3 mois.

En tisane : c’est bien pour la personne âgée qui souvent ne boivent pas assez

Recette de tisane :

Gingko(feuille) ou petite pervenche 30g + Romarin (feuille) 30g (stimulant du facteur de croissance nerveux)+ Olivier (feuille) 20g + Mélisse (feuille) 20g (protectrice nerveuse et apaisante).

En aromathérapie

Pour stimuler pendant une période d’examen ou de travail intellectuel

• HE de romarin CT 1,8 cinéole : 20 gouttes (mémorisation, concentration, esprit de synthèse) (déconseillé en cas d’antécédent d’épilepsie)
• HE de lavande officinale : 15 gouttes (concentration, rééquilibrant nerveux)
• HE de sapin baumier : 10 gouttes (oxygénation du cerveau)

Mélange à utiliser en olfaction ou 1 goutte sur les poignets 3X/jour pendant le travail

Pour stimuler les neurones et retrouver l’apaiser psychique

• HE de romarin CT 1,8 cinéole : 15 gouttes (mémorisation, concentration, énergie) (déconseillé en cas d’antécédent d’épilepsie)
• HE d’encens : 15 gouttes (apporte sérénité et diminue la peur de l’avenir)
• HE de citron : 15 gouttes (joie de vivre et apaisement)

Respirez au flacon 3 à 4 fois par jour selon les besoins. On peut aussi mettre 1 goutte sur chaque poignet.

Conseils en compléments alimentaires et oligo éléments

Vitamines et minéraux

Si les apports alimentaires ne sont pas suffisants, il faudra peut-être prendre du fer (si carence), du magnésium (marin ou en oligo-éléments) s’il y a du stress et de la fatigue, des vitamines naturelles du groupe B (il existe des complexes), de la vitamine C naturelle (acérola) 500mg à 1g/jour pendant 2 mois à renouveler après une pause d’un mois si nécessaire, et des oméga 3 EPA/DHA pendant 2 mois à renouveler régulièrement si l’alimentation n’est pas assez riche en oméga 3. (Attention à l’action fluidifiante des oméga 3 en cas de prise d’anti-coagulant).

En oligo-éléments le mélange manganèse-cobalt correspond à la diathèse du vieillissement.

Introduction 

Les changements significatifs dans nos modes de vie contemporains ont contribué à l’élargissement des addictions ou plutôt parlons de dépendance.  

La disponibilité accrue de produits riches en sucre, la publicité omniprésente, le stress quotidien, et les habitudes de consommation rapide ont largement augmenté les problématiques de dépendance. N’avons-nous pas remarqué que nous le voulions ou non, nous sommes constamment sollicités et  cela influe involontairement nos habitudes, nos plaisirs, nos envies. 

Qui n’a pas craqué devant des plaisirs trop sucrés ?  Pour satisfaire nos émotions à l’instant T.

Quel est le sens du mot addiction et dépendance ?

L’addiction est une dépendance, une perte de contrôle, une vraie difficulté d’abstinence et des rechutes éventuelles. On ne parlera pas ici des addictions en tant que perte de contrôle mais uniquement en termes de dépendances. 

 L‘addiction est une incapacité à contrôler sa consommation en ayant conscience des effets néfastes (trouble du comportement). 

La dépendance se caractérise par un désir souvent puissant, voire compulsif, de consommer ou de pratiquer une activité.

La dépendance est un phénomène physiologique qui conduit à consommer à nouveau pour ne pas subir les effets désagréables du manque (trouble physiologique, problèmes de neurotransmetteurs notamment 

Par exemple, lorsque l’on grignote tout au long de la journée, on peut être plutôt dans un manque de dopamine, si par contre c’est plutôt en fin d’après midi ou le soir, cela peut être dû à un manque de sérotonine / mélatonine.

Comprendre pourquoi sommes-nous dépendant au sucre ? 

Les dépendances, liées au sucre notamment, sont des phénomènes complexes à la croisée du physiologique et du psychologique. 

Pour entamer notre exploration, il est crucial de définir ces comportements excessifs. 

D’une part, la dépendance peut être physiologique, donc impliquant des changements au niveau cellulaire et neurochimique, tandis que, d’autre part, elle peut être aussi psychologique, c’est-à-dire enracinée dans des schémas de pensée et des comportements.

La dépendance comportementale est elle liée à notre environnement ou à nos habitudes. On associe la dépendance à des lieux, circonstances …

La dépendance, qu’elle soit physiologique ou psychologique, révèle la complexité des interactions entre le corps et l’esprit. 

Au niveau physiologique, les changements se produisent au niveau cellulaire et neurochimique, façonnant une dépendance physique à la substance ou au comportement en question. 

La consommation excessive de sucre va stimuler la libération d’endorphines, les neurotransmetteurs du plaisir, créant une récompense qui incite à répéter le comportement. En parallèle, le corps s’adapte en modifiant la régulation de certains récepteurs, renforçant ainsi la nécessité d’une consommation continue pour maintenir le même niveau de satisfaction. 

Il est clairement établi que les substances ou les comportements addictogènes modifient le fonctionnement du cerveau, en particulier le circuit de récompense situé dans le système limbique (notre cerveau émotionnel lié à l’apprentissage, aux souvenirs et aux émotions – le plus ancien de nos cerveaux). Celui-ci met en jeu plusieurs neurotransmetteurs = la sérotonine, les cannabinoïdes (synthétisés par l’organisme), le gaba et surtout la dopamine. 

La dopamine est impliquée dans le processus de récompense, elle pousse l’individu à la répétition de l’assouvissement du plaisir déclenché par la substance (sucre).

La plupart des dépendances provoquent une augmentation de la libération de dopamine, ce qui explique le cercle vicieux qui s’installe et la difficulté de s’en libérer.

De plus, les neurones s’adaptent à l’apport majoré de produit, en induisant une augmentation du nombre de récepteurs susceptibles de l’accueillir. Or, lorsque l’on cesse de consommer du sucre, les récepteurs se vident peu à peu mais, du fait de l’augmentation précédente de leur nombre, l’effet de manque est majoré et l’appel à la re-consommation décuplé. On est en fait accro à notre propre dopamine !

Au niveau psychologique, la dépendance au sucre est ancrée dans nos schémas de pensée et nos comportements. 

Les habitudes liées à la consommation de sucre peuvent devenir des mécanismes de coping face au stress, à l’ennui ou aux émotions difficiles. Ces schémas de comportement deviennent alors des réponses automatiques aux stimuli environnementaux, créant une boucle d’habitudes difficiles à rompre. La composante psychologique peut également être alimentée par des facteurs tels que la pression sociale, la publicité, et même des expériences passées qui ont associé la substance ou le comportement à des sentiments de réconfort ou de soulagement.

Il est important et fondamental de se poser la question : 

Pourquoi est-on tombé dans la dépendance ?

Quelle est notre souffrance cachée et le cœur du problème ?

Il faut donc, ne pas considérer le sevrage comme un moment insurmontable mais comme une magnifique opportunité de mieux se connaître !

Ainsi, la dualité entre les aspects physiologiques et psychologiques de la dépendance souligne l’importance de reconnaître la complexité de ces phénomènes. Une approche holistique pour traiter la dépendance doit absolument tenir compte de ces deux dimensions, en mettant en œuvre des stratégies qui abordent à la fois les changements biologiques induits par la dépendance et les modèles de pensée et de comportement qui la soutiennent. 

L’effet dévastateur des dépendances sur le corps et l’esprit doit également être mis en lumière. 

Du sucre en excès peut entraîner des problèmes de santé tels que le diabète, l’obésité, et des troubles métaboliques. 

Du point de vue psychologique, les dépendances peuvent altérer la santé mentale, contribuant à l’anxiété et à la dépression.

Une analyse approfondie des raisons sous-jacentes à la dépendance est essentielle. 

Le sucre, souvent utilisé comme un moyen de gestion du stress ou de récompense, crée des dépendances physiologiques en affectant le cerveau de manière similaire aux drogues. 

En comprenant les mécanismes biologiques et psychologiques, nous sommes mieux armés pour élaborer des stratégies de gestion des dépendance. Cette compréhension approfondie servira de base à l’approche holistique que je vous propose. J’ai créé un programme spécifique pour accompagner les personnes dans la libération de leur dépendance. Ce programme allie la phytothérapie, certaines huiles essentielles, l’auriculothérapie et un bilan approfondi des aspects physiologiques et psychologiques induisant les dépendances au sucre.

L’auriculothérapie, reconnue par l’OMS depuis 1987, va permettre d’agir sur des points réflexes spécifiques notamment pour les dépendance et donc envoyer une information corrective à notre cerveau. Cette technique est utilisée en médecine chinoise et a été conceptualisée en France dans les années 50 par Paul Nogier.

L’Atelier des Simples est une boutique qui vous apporte avant tout conseil, écoute, réconfort et solutions naturelles. N’hésitez pas à venir découvrir ou redécouvrir la boutique ouverte du mercredi au samedi. Les divers thérapeutes avec lesquels nous collaborons au quotidien sauront également vous conseiller au mieux.

Ortie Piquante

Odeur herbacée, aux saveurs aigrelette et astringente

Bienfaits de l’Ortie piquante

•    Reminéralisante et reconstituante
•    Anti anémique et hémostatique
•    Diurétique, dépurative, anti-rhumatismale, astringente et tonique capillaire
•    Immunostimulante et anti-allergique

Fortifie l’organisme, le tissu osseux, lutte contre la fatigue, l’anémie, le rhume des foins, les rhumatismes, les états de stress, d’angoisse et d’épisodes dépressifs. Contribue à l’entretien de la peau, des ongles et des cheveux.

Posologie :5g/jour

Usage externe : En masque après l’obtention d’une pâte, mélanger à de l’eau. Laisser agir 30 min et rincer, ou ajouté aux cosmétiques.

Usage interne : Ajouter dans les soupes, sauces, salades, compotes, smoothies et boissons santé…ou en infusion 1c-a-s pour une tasse d’eau chaude.

NB : Usage vétérinaire possible pour nos compagnons âgés souffrant de problèmes articulaires ou de rhumatismes, en mélangeant la poudre à leur alimentation.

Prêle

Sans odeur, aux saveurs légèrement salées

Bienfaits de la prêle

•    Reminéralisante
•    Diurétique
•    Hémostatique

Grâce à sa forte teneur en silice, elle assouplit les articulations, recalcifie et ressoude les tendons et raffermi la peau.

La poudre est utilisée pour la consolidation des fractures, le fragilités osseuses, l’ostéoporose post-ménauposique, les troubles de la croissance, contre les crampes et la spasmophilie.

La prêle favorise la perte de poids en stimulant la digestion et en réduisant l’appétit.

Posologie : 1 à 3 g/jour

Usage interne : 1 cac le matin, mélangé à l’alimentation, en cure de 3 semaines avec une pause d’1 semaine.

Radis Noir

Odeur forte et piquante, aux saveurs piquante et amère.

Bienfaits du radis noir

•    Détoxifiant
•    Draineur hépatique, cholagogue, pulmonaire et cutanée
•    Anti allergique

Véritable détoxifiant, il purifie le sang, contribue à l’amélioration des troubles digestifs et facilite le transit. Il agit sur les affections respiratoires aiguës bénignes, la toux grasse et prévient des bronchites hivernales des enfants.

Posologie : 500mg à 1 g/j

Usage externe : Coups de soleil, brûlures superficielles et érythèmes fessiers.

Usage interne : A mélanger avec son alimentation.

Voici un extrait de l’article de Christine Cieur, paru dans La Phytothérapie Européenne.

« Le boswellia, encore appelé arbre à encens ou oliban, appartient au genre Boswellia de la famille des Burséraceae et regroupe plusieurs espèces d’arbustes ou arbres (plus de trente espèces et de nombreuses sous-espèces) des milieux arides et désertiques d’Afrique (Somalie, Éthiopie…), de la péninsule arabique ou d’Asie (Inde).

Les différentes espèces de Boswellia sont souvent confondues entre elles du fait que l’oléo-gommo-résine qui s’exsude naturellement du tronc est désignée par le même terme générique « boswellie » quel que soit l’arbre dont elle est issue.

En thérapeutique, deux espèces sont principalement utilisées : Boswellia serrata (originaire d’Inde) et Boswellia carteriiou B. rivae (originaire de Somalie ou d’Arabie), également nommé encens véritable ou encens oliban.

Usages traditionnels

Depuis l’antiquité, la résine de boswellia est considérée comme une substance sacrée. À ce titre, elle tient une place de choix dans les cérémonies religieuses, les rites funéraires ou culturels aussi bien dans tout le bassin méditerranéen, qu’au Moyen-Orient ou en Asie. Considéré comme plus précieux que l’or, l’encens fait l’objet d’un commerce actif dès le 2^emillénaire avant notre ère. Il est universellement et symboliquement associé à la communication entre l’humain et le divin, en particulier lorsqu’il est brûlé durant les différents rituels. Parallèlement, l’encens jouit d’une place importante en thérapeutique. Il fait partie des pharmacopées indienne et chinoise.

En médecine ayurvédique, la résine de B. serrata équilibre les trois doshas (les trois tempéraments de base selon la médecine ayurvédique : Kâpha, Pitta et Vâta), purifie le sang et agit comme régulateur de l’inflammation en diminuant l’intensité des douleurs articulaires. La médecine traditionnelle indienne lui attribue aussi de nombreuses autres vertus, en interne comme en externe, pour soigner les affections respiratoires (asthme, bronchorrhée), digestives (diarrhées, inflammations), uro-génitales (infections urinaires, dysménorrhées), dermatologiques (soin et cicatrisation des plaies, piqûre de scorpion, teigne, chute de cheveux, etc.).

La médecine traditionnelle chinoise accorde également une bonne place à la résine de B. carterii nommée « Ru Xiang » dans le traitement des douleurs rhumatismales et menstruelles, pour réduire l’acidité gastrique ou les douleurs ulcéreuses et pour guérir les blessures cutanées traumatiques et/ou douloureuses.

Parties médicinales

La partie médicinale est constituée par l’oléo-gommo-résine. Celle de B. serrata est inscrite à la 9^e édition de la Pharmacopée Européenne. Celle-ci est collectée sur les sujets d’au moins dix ans d’âge par incision peu profonde de l’écorce du tronc ou des branches de l’arbre. La sève laiteuse qui s’écoule se solidifie au contact de l’air sous la forme de « larmes » de couleur ambrée à brun orangé, récoltées à la main.

L’oléo-gommo-résine séchée est utilisée sous forme de poudre ou d’extrait sec (principalement B. serrata) ou sera distillée pour obtenir de l’huile essentielle d’encens (principalement à partir de B. carterii. » …….

Dans la suite de l’article, Christine Cieur nous dit que le Boswelia est une plante très intéressante pour les douleurs articulaires grâce à ses propriétés analgésiques et anti-inflammatoires, ce qui peut apporter pour l’arthrite du genou une baisse de l’inflammation, de la douleur et du coup une amélioration de la mobilité. Il peut également être utilisé lors de pathologies respiratoires avec une baisse des crises pour l’asthme. Enfin le Boswelia permet de travailler sur le lien intestin cerveau et est, de ce fait, très utile contre les pathologies intestinales grâce à son action anti-inflammatoire et antioxydante.

Par manque de données et par sécurité, le Boswelia est déconseillé chez la femme enceinte ou allaitante et l’enfant de moins de 12 ans.

Si vous souhaitez découvrir l’article complet de Christine sur le Boswelia il se trouve dans la revue « La Phytothérapie Européenne, 2024, 138, 24-27 . https://www.phytotherapie-europeenne.fr »‘

A la boutique vous trouverez le Boswelia de Santarel et un mélange Boswelia-Curcumine chez Vitall+. De plus notre collagène articulaire contient aussi du Boswelia.

Une parenthèse naturelle pour soutenir votre bien-être

Dans cet article, plongeons dans le monde des inhalations, en comprenant ce qu’elles sont et comment elles peuvent devenir une part essentielle de votre routine de soins personnels.

Qu’est-ce qu’une inhalation ?

Les inhalations consistent à inhaler des vapeurs contenant des composés naturels provenant d’herbes, d’huiles essentielles ou d’autres ingrédients naturels. Cette pratique ancienne a été utilisée à travers les siècles pour ses bienfaits sur la santé respiratoire, la détente et le soulagement de divers inconforts.

Inhalation sèche ou humide ?

Les inhalations sèches se font sans l’utilisation de l’eau. On peut placer directement des herbes séchées, des fleurs, ou des huiles essentielles dans un récipient, puis respirer les arômes libérés. Les inhalations sèches sont souvent préférées pour leur praticité et leur efficacité immédiate.

Les inhalations humides, en revanche, impliquent l’utilisation d’eau chaude pour créer des vapeurs. Cette méthode est souvent réalisée en ajoutant des herbes, des huiles essentielles ou des fleurs séchées à de l’eau chaude dans un bol, puis en inhalant les vapeurs qui en résultent.

Les bénéfices des inhalations

• Soulagement de la congestion : Les inhalations sont particulièrement efficaces pour soulager la congestion nasale et thoracique. En utilisant des herbes aromatiques comme le thym ou des huiles essentielles telles que l’eucalyptus, vous pouvez dégager vos voies respiratoires et respirer plus librement.
• Détente et réduction du stress : Les vapeurs aromatiques provenant d’ingrédients tels que la lavande ou la camomille peuvent aider à réduire le stress et à favoriser la détente. Les inhalations deviennent ainsi une parenthèse apaisante dans votre journée bien remplie.
• Soutien immunitaire : Certaines herbes et huiles essentielles utilisées dans les inhalations, comme le romarin ou le tea tree, peuvent offrir un soutien naturel au système immunitaire. Cela peut contribuer à renforcer vos défenses contre les agents pathogènes.
• Hydratation des voies respiratoires : L’inhalation de vapeurs chaudes contribue à l’hydratation des voies respiratoires, ce qui est particulièrement bénéfique en hiver lorsque l’air est sec. Cela peut prévenir l’assèchement des muqueuses et réduire l’inconfort lié à la respiration sèche.

Comment intégrer les inhalations dans votre routine

Optez pour des herbes aromatiques, des fleurs séchées ou des huiles essentielles en fonction de vos préférences et des bienfaits recherchés.

Choisissez un endroit calme où vous pourrez vous détendre pendant votre session d’inhalation. Créez une ambiance apaisante avec des bougies, de la musique douce ou des éléments qui vous procurent du réconfort.

Utilisez un inhalateur spécialement conçu pour cet usage ou un bol d’eau chaude. Ajoutez vos ingrédients choisis et respirez profondément les vapeurs qui s’élèvent.

Voici deux recettes pour tester les inhalations

SOS Sinusite

de Christine Cieur – Du livre « Prévenir et soigner les maux de l’hiver » :

• HE pin sylvestre : 2 gouttes (décongestionnant, antiseptique)
• HE lavande vraie : 2 gouttes (anti-inflammatoire, décongestionnant)
• HE eucalyptus radié : 2 gouttes (antiviral, antibactérien, anti-inflammatoire)

Procédez à une inhalation de 5 à 10 minutes en respirant calmement et profondément au-dessus de l’inhalateur. Evitez de sortir dans l’heure qui suit l’inhalation afin de ne pas provoquer un choc thermique pour les muqueuses.

Anxiété et peur

de Christine Cieur – Du livre « apprivoiser le stress et l’anxiété » :

• HE camomille romaine ou orange douce : 30 gouttes
• HE ylang-ylang : 20 gouttes
• HE cèdre du Liban : 20 gouttes

Attention ! Les inhalations aux huiles essentielles sont déconseillées chez le sujet asthmatique ou ayant des antécédents d’épilepsie. Les inhalations sèches sont contre-indiquées chez l’enfant de moins de 7 ans et les inhalations humides le sont également avant 12 ans.

Article rédigé par Anne-Delphine François, naturopathe.

Des études suggèrent que le Basilic Sacré peut contribuer à la régulation du taux de sucre dans le sang. Son utilisation régulière peut être bénéfique pour les personnes atteintes de diabète ou préoccupées par leur santé métabolique.

Le sport doit être pris comme faisant parti de la santé globale, apportant un bien être physique et mental. L’activité physique est d’ailleurs un très bon anti-dépresseur !

On mange sainement, on bouge régulièrement, on dort avec une vraie récupération : voici les clés d’un bon équilibre de vie.

Il y a différentes façons de faire du sport :

• Le sport d’élite, l’objectif sera la performance pure. Il faut un suivi très personnalisé et professionnel
• Le sport de loisir avec un but de performance personnelle. Cela peut aller de la marche à un entrainement plus intensif et régulier.

Il faut trouver un sport pour chacun, celui qui vous fera du bien en fonction de vos capacités, de votre envie, de votre temps.

Les facteurs de réussite sont la technique, l’acquisition du geste, le physiologique, la psychologie, les besoin nutritionnels et l’hygiène de vie (sommeil, alcool, tabac).

Les facteurs de performance sont le statut nutritionnel, l’état de santé global, l’état psychique, l’entrainement, la technique.

Nous n’avons pas tous besoin de performance et de réussite, ou alors chacun à son niveau, sans jugement… Une chose est sûr plus on mobilise son corps d’une manière ou d’une autre, plus on se sent en vie et on garde un corps en forme… Moins on bouge, plus on est sédentaire, plus on « rouille » et moins on peut bouger, cela devient un cercle vicieux dans lequel il ne faut pas entrer.

Il faut commencer par avoir un bon équilibre alimentaire, l’alimentation doit Fournir de l’énergie, permettre une bonne récupération, prévenir du risque de blessure, assurer une bonne santé, une bonne immunité pour éviter la maladie et être saine et équilibré, bio faite maison pour avoir les meilleures vitamines et anti-oxydants. Nous aborderons l’alimentation du sportif lors d’un atelier. Et bien sûr il ne faut pas oublier une bonne hydratation, souvent et en petite quantité.

Les compléments alimentaires pour quelle raison ?

• Le bénéfice direct sur la performance est discutable, mais sur la santé il est indéniable car en pratique c’est assez difficile de compenser les carences avec l’alimentation.
• Prendre des compléments permet de travailler sur la prévention qui est une notion peut pratiquée en France. Cela va permettre de préserver sa santé, de mieux supporter l’effort et de mieux récupérer. Ce qui vous aidera à pratiquer plus longtemps et plus souvent.
• Ils sont utiles pour l’immunité, ils ont un impact anti-oxydant, ils peuvent favoriser la reconstruction tissulaire et apportent vitamines et minéraux.
• Les compléments permettront une meilleure récupération, en limitant les crampes et les courbatures.

Quels sont les besoins en micronutrition pour le sportif ?

• Les 5 vitamines essentielles pour le sportif sont la vitamine C, la B1, B2, B3 et B6 et la vitamine E. Ces vitamines de l’effort sont impliquées dans le processus métabolique de l’énergie.
• Le magnésium joue un rôle essentiel dans l’organisme. Pour le sportif il intervient dans la contraction musculaire et dans la transmission de l’influx nerveux. Il permet d’éviter ainsi les crampes.
• La taurine : c’est un dérivé d’acide aminé, produite par l’organisme à partir de cystéine, elle permet l’amélioration des efforts courts et intense. Elle favorise aussi l’absorbsion du magnésium dans la cellule.
• L-Tyrosine : Précurseur de l’adrénaline er de la noradrénaline que l’on produit pendant l’effort.
• Le zinc : il est impliqué dans la synthèse des protéines, de l’ADN et la croissance des cellules. C’est un très bon anti-oxydant.
• Attention à ne pas manquer de fer.
• L-Glutamine : Elle va permettre de travailler sur la porosité intestinale. Lorsque le sport est intense et long, l’oxygénation va se concentrer sur les muscles au détriment des intestins, ce qui peut provoquer à terme des microlésions. De nombreux sportifs souffrent de douleurs intestinales et de problèmes de transit. A prendre tous les jours ou au moment des entrainement et autour des compétitions sportives.

Nos produits pour soutenir les sportifs en micro-nutrition :

• Dynamirel de Santarel : dynamisant et antioxydant. Protecteur hépatique. Il préserve l’homéostasie cellulaire et est anti inflammatoire. Il stimule les cellules souches et les globules rouges. Prise à prendre pendant l’entrainement en cure et si compétition dans le mois : prise tout le mois. 15j/mois en sport études. Pour marathon, 10 jours avant le marathon, toute la période d’augmentation de l’entrainement. Il permettra de lutter contre la fatigue.
• Magnesium marin + rhodiole de Cosmédiet : Avec son apport en vitamine B6 et B1 c’est un bon complément régulier du sportif et la Rhodiole permet de s’adapter à l’effort physique et à lutter contre le stress.
• Plasma de Quinton : permet un bon apport en minéraux et vitamines
• Lithothamne : Algue alcalinisante et reminéralisante, elle va permettre de tamponner l’acidité produite par le sport et l’alimentation riche en protéine pour aider les muscles.
• Sport récupération de Vital+ : va permettre de compenser la perte de glucides de l’effort et aider le corps à mieux récupérer
• Ostéorel par Santarel : permet un accompagnement lorsqu’il y a une faiblesse tendineuse, articulaire ou osseuse, ou s’il y a un traumatisme
• Boswélia par Santarel : anti inflammatoire et anti oxydant tout en participant au bien-être intestinal.
• Cellurel par Santarel  : en cas de sprt intensif et de stree en récupération si besoin il faut se désoxyder. Cellurel contient des anti-oxydant performants (NAC, Gluthation, SOD….)
• Tendilonys par Herbiolys : pour les personnes sujettes aux tendinites.
• Tribulus terrestris par Vital + : augmente le taux de testotérone et favorise la libération de l’hormone de croissance.
• BoostVital de Vital+ : Giseng coréen, élehtérocoque, guarana pour réduire la fatigue, augmenter le tonus et les contractions musculaire, L-Tyrosine + L-Phénylalanine : précurseurs dopamine et noradrénaline , augmente mobilisation des graisses durant activité physique , motivation, vigilance, concentration, diminue le temps de réaction et Magnésium + Vitamine B6 : Comble les déficits (faiblesses musculaires) et Vitamine C antifatigue et participe à la synthèse de la noradrénaline, et soutient la synthèse de la L-carnitine
• Nous avons d’autres complexes pouvant apporter un soutien en vitamines et minéraux.

Pour tous conseils n’hésitez pas à passer la porte de la boutique…

Article rédigé par Sophie Templier – Naturopathe